First day in Japan: things to see are many, but for the moment Kyoto can wait. In fact, we decide to head towards Nara, to attend the last day of the Omizutori festival.
Nara is the ancient capital of Japan and still retains some of its old charm. Here is the largest wooden building in Japan (and some say even the world), the Todaiji.
Nara is also famous for being “invaded” by fawns. According to tradition it was founded, a mythological god was riding a white deer to protect the capital.
Since then, the deer are protected and cared for by the community. In return, & nbsp; they have developed their own martial art:
Be careful …
The real goal of the visit, however, is made up of the final acts dell’Omizutori. During this ceremony 11 monks carrying huge flaming torches that are exposed from the temple. People below awaits intrepid for hours for this short (10 minutes) ritual: it is said that those who will be “wet” from the rain of sparks, will be protected from evil spirits. Must surely be true, especially if it survives the flames.
For the rest of the festival celebrates the collection of water to cleanse the sacred temple before the arrival of spring. Not having participated personally, I refer you to Wikipedia 🙂
Avez-vous essayer de passer par la “narine” du Bouddha du Tôdaiji?
Dans la salle où trône le grand Bouddha, à droite en entrant mais à l’arrière du Bouddha se trouve une colonne du temple avec un trou à sa base.
Ce trou correspond en taille aux trous des narines du grand Bouddha. Régulièrement, le temple organise les ablutions du Bouddha et afin atteindre le visage de la statue, il est possible de passer par son nez.
Passer par le trou pratiqué dans cette colonne est un défi que relèvent quelques japonais, mais la plus part croit la chose impossible. Quand j’ai visité le temple, j’ai tenté de faire passer le grand gaillard que je suis par ce petit trou. Tous les spectateurs et mon épouse la première disaient “impossible, impossible”!
J’ai provoqué un attroupement quand je me suis plongé dans la chatière.
Et des applaudissement et de l’incrédulité m’ont accueilli quand j’en suis ressorti par l’autre bout.
Mon passage a aussi provoqué de nombreuses tentatives.
Ce genre d’expérience rigolote, réalisé humblement par un étranger, attire facilement la sympathie des japonais.
Pas de chance, malheureusement il y avait trop de monde. Mais je l’ai déjà fait il y a 9 ans quand je suis venu au Japon la première fois. C’est vrai, c’est difficile ! On essayera la prochaine fois avec les narines de Buddha même.
Il faudra essayer de pratiquer un peu quelques unes des techniques mises au point par les Cerfs !