Nous avons quitté Miyajima sous une pluie battante, après avoir visité un temple bouddhiste, armés de nos parapluies.
Nous avons ensuite repris le ferry et le train pour retrouver Jehan, un collègue du cours de japonais, devant notre hébergement.
La chambre est cette fois vraiment minuscule. A l’Edo Sakura de Tokyo, ce n’était déjà pas grand, là c’est encore plis petit : quand les lits sont faits on ne peut plus se tourner.
Jehan fait le pèlerinage de l’île de Shikoku, à pied au départ et maintenant à vélo. Lui aussi doit se débrouiller avec un peu anglais, des bribes de japonais et beaucoup de bonne volonté des deux côté. Les légumes doivent aussi être tous sur Shikoku, puisqu’il nous a dit en manger des tonnes. L’île est plus rurale, ce qui peut sans doute expliquer les changements de régime alimentaire.
Nous faisons le pèlerinage d’Hiroshima, avec l’incontournable dôme.
C’est un des rares bâtiments dont il soit resté quelque chose après l’explosion de la bombe. Autour, se déploient des jardins avec des bâtiments, statues, stèles commémoratives, la cloche de la paix, que nous sommes allés faire sonner.
Nous avons visité le château d’Hiroshima, édifice reconstitué puisque lui aussi soufflé par la bombe.
Le musée qu’il abrite est consacré à l’histoire d’Hiroshima, depuis les premières installations humaines.
Il y a évidemment un étage sur les samouraï avec des katana à l’essai.
Sur les cinq étages que comprends le musée seuls les deux premiers sont partiellement traduit en anglais. Dommage…
Nous sommes ensuite allé faire un tour, en déplorant l’absence de cafés, qui ‘e font visiblement pas partie de la culture japonaise : des distributeurs de boissons partout, aucun café.
Pour finir la journée, nous sommes allés manger… coréen ! Donc, avec des légumes.
Nous sommes maintenant en route pour la dernière étape de notre voyage : Kyoto (2), avec, on l’espère cette fois, des cerisiers en fleur.
A propos de train, voilà pourquoi les trains japonais sont si ponctuels… http://www.gizmodo.fr/2014/03/26/trains-japon.html